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Paul Éluard, le poète pour tous

 

 

 

L'année où il compose à Saint-Tropez le conte pour enfants Grain-d'Aile, avec Jacqueline Duhême, est son annus mirabilis: Paul Éluard (pseudonyme d'Eugène Grindel) publie La Jarre peut-elle être plus belle que l'eau?, Le Phénix, Le Visage de la paix (illustré par Picasso), et Pouvoir tout dire (avec des illustrations de Françoise Gilot). Il meurt l'année suivante, d'un arrêt du cœur, le 18 novembre 1952, à son domicile de Charenton, aux portes de Paris. Il avait 56 ans. Un de ses premiers biographes soulignait: «Voici un poète qui se présente à nous avec une œuvre d'apparence légère, composée de poèmes courts pour la plupart, écrits avec des mots familiers et dont les images sont parfois la simplicité même.»

Plus que tout autre, Éluard fut le poète de la liberté, de l'amour passionné et de la Résistance. Ses poèmes sont marqués pour la plupart par une fraîcheur naïve, une simplicité juvénile qui ont toujours séduit les lecteurs, aujourd'hui encore, y compris les plus jeunes. Les titres de ses principaux recueils en témoignent: Mourir de ne pas mourir (1924), dont le titre a été inspiré par Thérèse d'Avila, Capitale de la douleur, son opus magnum achevé l'année où il adhère au Parti communiste français, en 1926, L'Amour, la poésie (1929), La Vie immédiate (1932), Cours naturel (1938), Au rendez-vous allemand (1944), Le temps déborde (1947).

 

Source: Le Figaro

 

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